LHomme De La Maintenance
Ma femme et moi, nous avons toujours aimé pimenter notre vie sexuelle par des rencontres sans lendemain. Mais, depuis que nous sommes entrés dans la cinquantaine, nous avons fortement élevé notre niveau daudace.
Bien sûr, avec la cinquantaine, nous avons pris un peu de poids. Je dois faire des efforts, surveiller mon alimentation et faire de lexercice physique. Stéphanie était sur une note positive, ses seins avaient gonflé, ses hanches voluptueuses et ses fesses rondes faisaient delle une déesse éblouissante.
Elle avait toujours l'air formidable, mais ses formes harmonieuses, de femme gironde, attiraient plutôt les africains. Stéphanie est une femme plutôt bavarde, très coquette, et elle navait aucun mal à attirer de nombreux admirateurs masculins ou féminins, mais les grands gaillards noirs avaient sa préférence.
Dans ses jeux sexuels, le fantasme de Stéphanie, cétait dêtre traitée grossièrement, baisée durement par des types avec d'énormes queues. Pour la planification de telles rencontres, elle sen remettait souvent à moi, mais je lui avais dit à plusieurs reprises, quelle avait son libre arbitre dans le choix de ses partenaires.
Nous étions en vacances dans une île paradisiaque, séjournant dans un très bel hôtel tout compris. Nous avions la chance d'avoir une chambre au rez-de-chaussée, avec terrasse donnant sur les jardins, un endroit discret protégé des regards par une épaisse haie de bougainvillées.
Un matin, au début des vacances, Stéphanie est sortie de la salle de bain en râlant. La pression de l'eau dans la douche était insuffisante, elle avait mis très longtemps à se rincer, alors j'ai appelé la réception pour me plaindre.
Ils se sont excusés, et mont promis denvoyer quelqu'un le plus tôt possible. Jétais prêt à partir, faire mon jogging le long de la plage, et Stéphanie m'a dit qu'elle attendrait ici, pour être sûre du résultat. Elle pensait quils ne pourraient pas résoudre le problème, et prévoyait de changer de chambre.
Je suis donc parti trottiner le long de la plage, en admirant quelques jolis petits culs au passage et, après une petite heure defforts, je me suis octroyé une récompense. Je me suis arrêté au bar de la plage, un endroit sympathique tenu par des serveuses aux glandes mammaires très développées, pour consommer un jus de fruit arrangé dun peu dalcool.
Jétais assis là, attendant gauloisement que mes glaçons fondent, lorsque mon téléphone ma tiré de ma rêverie contemplative. Un message de Stéphanie qui voulait savoir où jétais, et combien de temps je resterais. Jai répondu que jétais au bar de lhôtel, en train de boire un café, et je lui ai demandé si elle voulait que je lui ramène quelque chose.
La réponse a été : «NON, reviens maintenant, passe par la terrasse, n'entre pas, envoie-moi un message lorsque tu y es. Soit discret.» Intrigué, j'ai vidé mon verre et je suis rentré au petit trot.
Arrivé sur la terrasse, je me suis assis sur une chaise en plastique, et tout sest éclairci. Les rideaux de la porte-fenêtre étaient entrebâillés, laissant un espace dune trentaine de centimètres. Je voyais le lit, avec Stéphanie agenouillée entre les jambes écartées dun colosse noir.
Alors, en accord avec ses instructions, je lui ai envoyé un message lui disant que j'étais bien installé, et que la séance pouvait commencer. J'ai entendu son téléphone sonner, elle a arrêté de pomper le gars pour soccuper du téléphone.
«C'est mon mari, il dit qu'il en a pour une demi-heure.» Elle a tapoté sa réponse avant de se remettre au travail. Quelques secondes plus tard, sa réponse est apparue sur mon écran : «Profite du spectacle !»
Stéphanie sest relevée pour enfourcher le gars, sa main sest emparée de la bite dressée, elle est descendue sempaler dessus, et elle a commencé à chevaucher cette énorme bite.
Clairement, je pouvais lentendre haleter et gémir, et voir sa chatte s'étirer, alors que lénorme pieu de chair senfonçait en elle.
Elle narrêtait pas de lui parler, commentant la taille exceptionnelle de lengin, disant quelle lui faisait un bien fou, Quelle était beaucoup plus grosse que tout ce quelle avait connu, que cétait une vrai bite de taureau de combat ...
Stéphanie allait de plus en plus vite, le gars avait ses grosses mains noires sur ses seins, ses doigts s'enfonçaient dans les chairs tendres en pinçant et en étirant ses mamelons. Stéphanie commençait à haleter et à gémir de plus en plus fort, et le mouvement de ses hanches se transforma en un balancement davant en arrière, en frottant sa chatte sur lui.
«Oh mon Dieu, ça vient, je vais jouir.» elle a dit. J'étais choqué, généralement Stéphanie résiste plus longtemps.
Dune main, le gars lui tordait un nichon, et de lautre, il lui claquait les fesses. Comment a-t-il deviné que cétait exactement ça quelle attendait ? Le bassin de Stéphanie se balançait frénétiquement, et elle laissait échapper de petits cris, accompagnés de grognements. Quelques secondes plus tard, elle poussait un grand cri en sabattant sur lui, tout son corps agité de tremblements.
Après quelques instant de récupération, Stéphanie a roulé sur le côté pour sarracher du gars, et elle est descendue du lit. Elle faisait face à la porte-fenêtre, souriante et frivole. Je pouvais voir son visage rubicond et entendre sa respiration essoufflée. Le mec s'est assis au bord du lit et l'a attrapée par le bras :
«Hé, reviens ici, poulette, jen ai pas encore fini avec toi !»
Stéphanie repoussa ses mains et lui demanda un instant en senfuyant vers la salle de bain. Elle revint un moment plus tard, avec deux grandes serviettes qu'elle déposa au pied du lit, devant la porte-fenêtre. Elle sinstalla à quatre pattes, dos à la porte :
«Baise-moi par terre, comme une petite chienne blanche !»
«Daccord, tes désirs sont des ordres, Princesse !» dit-il en saccroupissant derrière elle, son énorme bite, brillante de ses jus, se balançait dans le vide lorsqu'il de déplaçait.
Incapable de parler, bouche grande ouverte, Stéphanie grognait et gémissait en subissant lénorme charge du monstre qui écartelait ses chairs. Il frappait son ventre contre les fesses de ma femme, ses couilles qui se balançaient heurtaient son clitoris, le claquement sec des chairs qui se percutent rythmaient leur sauvage fornication.
Un bruit de piston humide séchappait de la chatte martyrisée, de la bouche grande ouverte de Stéphanie séchappait un halètement digne dune locomotive à vapeur. Il butait au fond de son ventre, elle luttait pour ne pas seffondrer, pour résister à la poussée farouche du mâle en rut.
Elle le suppliait pour plus de rudesse. Je nen croyais pas mes yeux et mes oreilles. À présent, les gifles pleuvaient sur ses fesses rougies. Dune main, il a saisi une poignée de cheveux pour lui tirer la tête en arrière. Je voyais son visage dans le miroir de larmoire. Un masque de souffrance déformait ses traits, et pourtant elle réclamait encore plus.
Il enfonçait sa bite en elle, à grands coups puissants, comme sil voulait la briser en deux, la détruire. Nous n'avions jamais eu de relations sexuelles aussi brutales. Jignorais quelle adorait ça, et ma bite tendue dans mon short, me disait que j'étais ravi et allumé par ce spectacle devant moi.
Le gars a augmenté ses brutalités à un rythme effréné, puis il lui a donné une énorme poussée qui la faite tomber à plat ventre. Il sest écroulé sur elle en grognant «Tiens, prends ça, salope !»
Il est resté couché sur elle, lécrasant de toute sa masse, la bite enfouie au fond de sa chatte, en bougeant lentement ses hanches. Je savais quil se vidait dans sa vulve, quil la remplissait de sa semence crémeuse.
Les couilles vides, il sest relevé péniblement.
Stéphanie a relevé péniblement son visage : «Tu ferais mieux d'y aller, avant que mon mari ne revienne !»
Avec une rapidité étonnante pour un homme de sa corpulence, il sest rhabillé, il a ramassé sa sacoche à outils, et il sest éclipsé.
Ma bite palpitait dimpatience. Jai franchi la porte-fenêtre, je me suis accroupi devant Stéphanie pour lui fourrer ma bite dans sa bouche :
«Tiens, suce, salope !» Et je la baisais dans la bouche jusqu'à ce que jenvoie la purée dans sa gorge.
Après que Stéphanie soit allée se doucher, elle ma raconté comment elle avait séduit le type de la maintenance.
Lintervention ayant eu lieu à lextérieur du bâtiment, il nétait entré que pour vérifier que tout fonctionnait correctement. En voyant ce grand type bien balancé, elle lui avait demandé sil était grand de partout.
Il a répondu quil létait, alors elle sétait mise nue devant lui en lui disant : «Fais voir !»
Le lendemain, je suis allé à la réception pour le remercier de son travail. Quand je l'ai trouvé, je lui ai dit qui j'étais, et qu'il était venu régler la pression de l'eau dans notre chambre. Je lai remercié avec un gros billet, en lui disant que ma femme avait été enchantée de sa prestation. Je pense quil ma compris.
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